mercredi 12 février 2014

SECURITE : PARIS ET LE SOCIALISME A L’EPREUVE DES FAITS

Frédéric PÉCHENARD, ancien Directeur général de la Police nationale et candidat aux municipales aux côtés de NKM nous l’avait déjà dit mais Anne Hidalgo et le Préfet de police tentaient de minimiser les faits qui frappaient avec insistance à la porte de leurs certitudes et de leurs convictions comme un flagrant échec de la politique mise en oeuvre par Manuel VALLS.


A Paris, les cambriolages ont augmenté de 26 % en 2013 !

Et bien, c’est fait. Ils essaient toujours aujourd'hui de minorer les chiffres mais ils reconnaissent qu’il y a péril en la demeure. Du moins le Préfet car Hidalgo semble rester campée sur ses certitudes.

La préfecture de police distribue  15 000 prospectus pour rappeler que le numéro "17 Police secours" est toujours actif et que ses services s’engagent à intervenir rapidement… dans les 15 secondes maximum au téléphone ! L’intervention physique interviendra ensuite mais on ne donne pas de délai.

En réponse à ce fléau et à l’insécurité croissante, aveu patent d’échec de la politique de prévention de M. Delanoë et Madame Hidalgo et de celle de répression de Manuel VALLS, ministre de l’intérieur, la préfecture de police répond par une campagne de communication avec des tracts. Les délinquants n’ont qu’à bien se tenir !

Aucune réponse adaptée avec un plan caméras ambitieux et efficace, aucun engagement sur l’orientation des missions de police et aucune police municipale pour la mettre en oeuvre.

Ce sont pourtant les propositions de Nathalie Kosciusko-Morizet qui entend véritablement s’engager dans la lutte contre les incivilités et l’insécurité à Paris.


Pour les socialistes, ils restent fidèles à leurs erreurs, ils répondent parce qu’ils savent peut-être mieux faire que les autres, communiquer et travestir la réalité par des actions virtuelles. C’est la politique de la rustine, pas celle de la responsabilité et de l’ambition pour Paris.

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