lundi 10 mars 2014

DEBAT DU GRAND JURY RTL, LCI, LE FIGARO



HIDALGO INVENTE UNE NOUVELLE "TRADITION REPUBLICAINE" !


Alors que la candidate socialiste se défile et refuse tous les débats avec ses adversaires, elle invoque une hypothétique « tradition républicaine » pour justifier ce qu’on peut aisément appeler : une « lâcheté républicaine » !

Tous ses concurrents de gauche comme de droite souhaitent pouvoir confronter leurs idées avec cette « auto-proclamée » maire de Paris. Malheureusement, ils devront s’adresser à un mur en l’absence de contradicteur.

Voilà une bien belle conception de la démocratie pour le parti socialiste et Madame Hidalgo, à l’image sans doute des pratiques de l’équipe au pouvoir qui fait fi des règles de droit et porte atteinte de façon délibérée aux libertés publiques comme l’écoute des conversations téléphoniques des avocats le démontre.

Les électeurs ont-ils placés leur confiance dans les élus pour qu’ils utilisent les moyens publics à des fins partisanes comme en atteste la politique municipale de désaffichage ou  le détournement d’écoutes téléphoniques des avocats défenseurs de nos libertés ? Ce serait une nouvelle tradition républicaine !

« Oser Paris », c’est le slogan d’Anne Hidalgo et il n’y a apparemment pas de limite à sa mise en oeuvre. Avec cette soudaine « tradition républicaine », elle ose tout !

Alors quand Nathalie Kosciusko-Morizet dénonce le « déni et mépris de la démocratie », elle est dans le vrai et elle met en évidence la duplicité de la candidate socialiste qui refuse de débattre et donne des réponses différentes en fonction des publics auxquels elle s’adresse.

NKM  a raison d’en appeler à l’esprit de résistance  et de liberté des Parisiens pour qu’ils se rebellent contre cette main mise d’un parti sur les moyens publics et défendent les valeurs qui leur sont chères et qui font la fierté d’un peuple et d’un pays. 

La liberté est notre bien le plus précieux et nul n’a le droit d’y porter atteinte  même en invoquant une fallacieuse tradition républicaine.

Les Parisiens ont droit à leur débat.


Jeanne K.

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